Les longues soirées d’hiver permettent de réfléchir au tracé du labyrinthe de la saison suivante. Celui-ci est dessiné à l’échelle, sur du papier quadrillé.
Lorsque le maïs atteint une dizaine de centimètres, le tracé est réalisé grandeur nature dans le champ. Pour cela, il faut prendre des points de repère, mesurer, tracer… Ensuite, une équipe de bénévoles de l’association se met au travail pour arracher le maïs qui a poussé à l’emplacement des allées. Le soleil et l’humidité vont permettre au maïs d’atteindre rapidement sa hauteur maximale.